L’Amérique nous mets en évidence un aspect nouveau de cette grippe.

Un aspect financier et numérique, l’estimation du coût si la grippe s’étend à l’ensemble du monde est de 800.000.000.000 $ et 200.000.000 personnes qui pourraient mourir.

Ces deux chiffres parlent d’eux même ; mais un autre point important amené par cette maladie serait l’absentéisme, avec un taux de 30 à 50 %.

Cela revient à arrêter la quasi-totalité de l’activité des pays. Quid des services publics, pompier, personnel hospitalier, personnel de collecte des ordures ménagères (, distribution de l’eau (maintient du traitement de potabilité etc.…)

La grippe aviaire (the bird flu) a impulsé l’identification des employés clés et à former des remplaçants. Mise en place d’un plan de fonctionnement sans la case « bureau » pour ces employés clés. Ils travailleront depuis chez eux.

Toutes ces bonnes résolutions ne sont pas généralité, malheureusement, beaucoup sont dans une attitude « on attends, on verra bien… ».

Pourtant il semble évident que si quelque chose est à faire c’est maintenant et pas pendant la crise ; quels sont les dirigeants en France patrons d’entreprises ou politiciens qui ont eu, non ; qui ont mis en place une réflexion dans ce sens, la ville de Paris essaie.